mercredi 18 novembre 2015
Tania & Kevin
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mercredi, novembre 18, 2015

Vendredi 13 Novembre, parmi les nombreuses victimes de l’attentat meurtrier qui a frappé Paris et Saint Denis, la jeune Lacrimoara et son mari Ciprian ont perdu la vie lors de la fusillade du restaurant « La Belle Equipe », rue de Charonne.
Le couple, roumain, en France depuis de nombreuses années, étaient les parents d'un garçon de 18 mois Kevin-Lucas né en France et d'une fillette de 11 ans Tania, cette dernière arrivée en Août 2015 à Paris avec sa grand-mère Tatiana (la maman de Lacri). Tania est née d'une précédente union et son père est décédé. Ciprian considérait Tania comme sa propre fille et le couple avait fait le choix de les élever ensemble en France, leur pays d'adoption.
Lacrimoara et Ciprian avaient clairement exprimés à l'équipe la joie qu'ils avaient d'avoir enfin réussi à réunir leur famille.
Aujourd’hui, outre le deuil il y a l’urgence : les deux orphelins se retrouvent dans une situation intolérable et leur grand mère n’a actuellement aucun revenu et elle seule est garante de l’unité familiale telle que l’avait voulu les parents décédés.
Il est impératif de récolter des fonds pour gérer l’urgence mais également pour veiller à ce que les enfants ne soient jamais séparés. C’était le voeux de leur parents mais c’est également notre devoir de tout faire pour que ces enfants accèdent à la nationalité Francaise et à l’éducation qui leur est due.
Les fonds récoltés serviront à palier à l’urgence, à aider la famille notamment en s’entourant de conseils juridiques et administratifs et à créer un pécule pour les enfants.
Nous appelons à votre coeur et à votre solidarité citoyenne.
L'équipe du Café des Anges.
Lien donation : ICI
dimanche 6 septembre 2015
La Roumanie se déchire à son sommet autour du projet de baisse de la TVA
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dimanche, septembre 06, 2015

Le Parlement roumain va décider, lundi 24 août, s’il valide une réforme fiscale qui devrait changer radicalement le paysage économique du pays. Le nouveau projet de code des prélèvements prévoit une baisse de la TVA qui la ferait passer de 24 % à 20 % et une réduction massive des taxes et impôts.
L’objectif est de relancer la consommation et de rendre la Roumanie plus attractive pour les investisseurs étrangers. Début juin, Bucarest a déjà baissé la TVA sur les produits alimentaires et les services touristiques de quinze points, la ramenant à 9 %. « Le plus important est de donner un message fondamental pour l’économie et la société, avait déclaré le premier ministre socialiste, Victor Ponta, le 19 juillet. Si on prend en compte la réduction pour les aliments, la TVA s’élèvera en moyenne à 16 %. »
Le geste du gouvernement, destiné à bénéficier à la croissance, ne fait pas l’unanimité. Une première tentative pour faire passer ce code fiscal a déjà eu lieu le 24 juin. Le Parlement avait donné son feu vert. Mais le 17 juillet, le président libéral, Klaus Iohannis, a refusé de le promulguer loi et l’a renvoyé devant les députés. « Nous devons faire preuve d’une attitude équilibrée et rationnelle afin d’éviter des dysfonctionnements qu’il nous faudrait corriger par la suite, a justifié le chef de l’Etat.
Le FMI sceptique
M. Iohannis, qui doit gérer une cohabitation difficile avec son premier ministre socialiste depuis sa victoire à l’élection présidentielle de novembre 2014, n’est pas le seul à critiquer cette réforme. Le Fonds monétaire international (FMI) a conseillé à la Roumanie de revoir ses projets, « pour préserver des progrès durement acquis en matière de stabilité économique », a ainsi affirmé la représentation du Fonds dans le pays dans un communiqué rendu public le 4 août. Il n’est pas évident qu’un nouveau coup de pouce à la consommation financé par la dette soit souhaitable. La Roumanie a besoin de mesures qui favorisent l’investissement et d’une meilleure gestion des dépenses publiques et de l’utilisation des fonds de développement européens. »
Sur le budget pour la période allant de 2007 à 2013, Bucarest a reçu 32 milliards d’euros de fonds de la Commission européenne. Mais, en l’absence de projets fiables pour utiliser cette manne, le pays n’a dépensé qu’un tiers de ce budget. Sur le budget 2014-2020, la Roumanie devrait bénéficier de 44 milliards d’euros de l’Union européenne (UE), mais le gouvernement a accumulé beaucoup de retard pour déposer à Bruxelles les projets attendus.
Au-delà des défis économiques liés à la réforme fiscale se profile la bataille politique dans la perspective des élections législatives qui auront lieu en novembre 2016. D’une part, le premier ministre socialiste tente de relancer l’économie pour gagner du capital politique, d’autre part, le président libéral ne veut pas que le prochain gouvernement paie la note d’un relâchement fiscal controversé.
Le pays sur des rails depuis 2000
Souvent montrée du doigt comme le mouton noir de l’Europe en raison d’une corruption endémique, la Roumanie a réussi une performance économique. Après la chute de la dictature communiste en 1989 et la transition chaotique des années 1990, le pays s’est remis sur les rails à partir de 2000 lorsque Bucarest a entamé les négociations d’adhésion à l’UE. Mais la crise qui a touché l’économie mondiale en 2008 a interrompu cet élan.
Confronté à un scénario à la grecque, le président de centre droit de l’époque – Traian Basescu – avait demandé à son gouvernement de mettre en œuvre une politique d’austérité. En 2010, du jour au lendemain, les fonctionnaires avaient vu leur traitement diminuer d’un quart et la TVA était passée de 19 % à 24 %, ce qui avait pénalisé la consommation. Plus de 200 000 emplois avaient été supprimés dans la fonction publique.
« Une croissance économique exagérée et basée sur la consommation est vouée à s’effondrer, a rappelé l’ancien président Basescu le 16 août à propos de la réforme fiscale. Si le nouveau code passe, nous serons confrontés, en 2017, à la crise que nous avons déjà connu en 2010. » Lundi 24 août, le Parlement roumain décidera de la direction que prendront les finances du pays.
Un projet de mosquée à Bucarest divise le pays
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dimanche, septembre 06, 2015

En Roumanie on compte les musulmans sur les doigts de la main, mais la question de l’islamisme inquiète ce pays à majorité orthodoxe. Surtout quand l’Etat turc s’apprête à construire dans la capitale roumaine, Bucarest, une immense mosquée. En mai, le premier ministre socialiste, Victor Ponta, a passé en catimini une ordonnance d’urgence qui fait don à la communauté musulmane d’un terrain de 11 000 mètres carrés à proximité du centre-ville. C’est là que l’Etat turc souhaite financer, à hauteur de trois millions d’euros, une mosquée qui devrait accueillir environ 2 000 fidèles.« Nous allons construire la plus grande mosquée d’Europe, affirme le mufti Iusuf Murat, le chef de la communauté musulmane de Roumanie. L’offre du gouvernement montre le respect des minorités ethniques en Roumanie. »
Le projet est pourtant loin de faire l’unanimité. La communauté musulmane ne compte qu’environ 70 000 croyants, soit 0,3 % de la population. La majorité d’entre eux est concentrée dans le sud-est du pays, et compte 80 petites mosquées. Bucarest, avec ses...
Info Le Monde
samedi 22 août 2015
Bonjour et bienvenue!
le
samedi, août 22, 2015
Le premier article est toujours difficile a rédiger. Surtout quand on est en manque d'inspiration.
J'ai crée ce petit blog de débutants dans le but d'aider certaines personnes intéressés par son contenu.